Après sa réélection écrasante à deux chiffres en 2022, les partisans du gouverneur de Floride Ron DeSantis (y compris l’auteure de droite Ann Coulter) l’ont salué comme le républicain qui écraserait Donald Trump lors de la primaire présidentielle du GOP de 2024 avant d’écraser le président Joe Biden aux élections générales. élection. Mais la campagne présidentielle de DeSantis a eu beaucoup de mal contre Trump, et l’ancienne gouverneure de Caroline du Sud, Nikki Haley, semble être la candidate non-Trump avec le plus grand élan.
Le dernier signe inquiétant pour la campagne de DeSantis, selon AdImpactest une annulation majeure du super PAC pro-DeSantis Never Back Down.
Rapports AdImpact que le groupe « annule toutes ses réservations pour 2024 » lors des primaires du GOP dans l’Iowa et le New Hampshire.
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Selon un tweet publié par AdImpact le 21 décembre, les « annulations » qu’ils ont « suivies » « totalisent 2,5 millions de dollars ».
Sondage après sondage, Trump est clairement le favori républicain à la présidentielle de 2024, bien qu’une enquête du Saint Anselm College Survey Center publiée le 21 décembre montre un élan pour Haley dans le New Hampshire – où elle est désormais derrière Trump de 14 pour cent parmi les électeurs primaires du GOP, tandis que DeSantis a eu une baisse de 6 pour cent depuis décembre.
Ce n’est que le dernier revers du super PAC Never Back Down. Le mois dernier, Chris Jankowski – un allié de longue date de DeSantis qui était directeur général de Never Back Down – a démissionné brusquement. Sa démission est intervenue peu de temps après une réunion tendue entre les responsables de Never Back Down et les collaborateurs de DeSantis à Tallahassee, en Floride, qui aurait « failli en venir aux mains ». Le conflit entre Never Back Down et d’autres alliés de DeSantis a conduit à la création d’un super PAC dérivé baptisé « Fight Right ».
Le gouverneur de Floride est également aux prises avec une controverse autour de Never Back Down, suite à des allégations selon lesquelles il aurait coordonné les dépenses politiques, ce qui constitue une violation de la loi électorale fédérale.