Je lis rarement des livres sur la « productivité ». Après en avoir lu quelques-uns, vous les avez tous lus. La plupart ne sont qu’un reconditionnement fatigué des mêmes quelques idées qui pourraient être facilement résumées dans un ou deux articles de blog.
De temps en temps, cependant, je lis un livre sur la productivité qui m’impressionne, qui m’expose à de nouvelles idées et façons de penser. Essentialisme : la poursuite disciplinée de moins est un tel livre.
L’auteur Greg McKeown propose non seulement quelques conseils et stratégies pour vous aider à être plus productif, mais aussi une façon entièrement différente de vivre et de penser. Il appelle cette approche « essentialisme ».
Maintenant que j’ai lu le livre, je suis ravi de partager ses idées les plus intéressantes et les plus utiles. Je commencerai par un bref aperçu de la philosophie générale de l’essentialisme. Ensuite, je discuterai de certaines des suggestions plus spécifiques et non conventionnelles du livre pour pratiquer l’essentialisme à l’école, au travail et dans la vie.
Qu’est-ce que l’essentialisme ?
La philosophie de l’essentialisme sous-tend tout dans le livre de McKeown. Comme il le dit, l’essentialisme « consiste à faire l’investissement le plus sage possible de votre temps et de votre énergie afin d’opérer à notre plus haut point de contribution en ne faisant que ce qui est essentiel » (6).
Quelqu’un qui suit ce mode de vie est appelé un Essentialiste. Et c’est la clé de l’argument général de McKeown : l’essentialisme n’est pas seulement quelque chose que vous faites parfois, comme vous le feriez avec des « stratégies de productivité » typiques. C’est plutôt toute une façon d’être, une discipline constante qui vous aide à décider ce que vous devez faire (et, plus important encore, ce que vous devez éviter).
Mais à quoi cela ressemble-t-il en pratique ? Pour vous aider à le découvrir, le reste de l’article partagera certaines des leçons et pratiques de l’essentialisme.