Un certain nombre de députés conservateurs seraient furieux des propositions et auraient menacé de démissionner avant les prochaines élections générales.
Près d'une douzaine de députés conservateurs envisagent de démissionner après la deuxième répression de l'emploi du gouvernement travailliste, quelques mois seulement après les élections générales.
Le gouvernement travailliste a annoncé une répression des seconds emplois, affirmant qu'il « tournait la page » d'une ère de « sordide, scandale, copinage et mauvais comportement » après sa victoire aux élections.
En vertu des nouvelles règles, les députés ne pourront pas occuper un deuxième emploi s'ils ne répondent pas à un nouveau test consistant à donner la priorité aux électeurs. Les travaillistes ont clairement indiqué leur intention de supprimer les exemptions permettant aux députés de conseiller les employeurs sur la « politique publique » et sur le fonctionnement du Parlement en général.
Cependant, un certain nombre de députés conservateurs seraient furieux de ces propositions et auraient menacé de démissionner avant les prochaines élections générales.
Un ancien ministre aurait déclaré à ses collègues qu’ils « en ont assez de leur travail » et « réfléchissent à tout ce qu’ils peuvent gagner de plus à l’extérieur ».
On dirait que certains députés conservateurs ne se soucient pas beaucoup du service public.