L'un des premiers actes de Farage était Harald Vilimsky, une figure de proue du Parti de la Liberté d'extrême droite autrichien.
Nigel Farage a l’habitude de partager la tribune avec des fanatiques d’extrême droite. Le dernier exemple en date est celui du leader du parti réformiste britannique, qui s’est rendu aux États-Unis pour la troisième fois depuis son élection comme député de Clacton en juillet, afin d’être invité à donner une conférence dans un think-tank américain d’extrême droite.
Farage a été vivement critiqué pour son manque de dévouement envers ses électeurs de Clacton depuis son élection, car il consacre son temps à des apparitions dans les médias et à des discours.
La semaine dernière, il a prononcé le discours d'ouverture d'un dîner anniversaire du Heartland Institute, un groupe de réflexion américain de droite qui promeut le déni du changement climatique et veut abroger les réformes de Barack Obama en faveur de l'accessibilité aux soins de santé.
En 2016, le Parti de la liberté a signé un traité d’amitié avec Russie unie de Poutine pour garantir une coopération idéologique et organisationnelle.
Le fait que Farage se sente si à l’aise dans le fait de partager une tribune avec quelqu’un qui s’oppose aux sanctions contre la Russie après la guerre de Poutine en Ukraine, en dit long.
Un ticket de table en platine pour le dîner avec Farage coûtait 50 000 dollars. C'est bien trop pour être un homme du peuple.