« Pas tout à fait dans l’esprit du code ministériel »
Priti Patel a refusé de comparaître devant une session prévue de la commission des affaires intérieures où elle devait être interrogée sur des questions telles que l’accord sur les migrants rwandais ainsi que sur la violence contre les femmes et les filles et les retards de passeport.
La commission des affaires intérieures a écrit sur sa page Twitter : « Ce matin à 10h00, nous devions interroger le ministre de l’Intérieur, Priti Patel. Elle a refusé d’assister à notre séance.
Réagissant à la nouvelle, la secrétaire d’État à l’Intérieur du travail, Yvette Cooper, a tweeté : « Que diable se passe-t-il ? Pourquoi Priti Patel a-t-il refusé à la dernière minute d’aller à @CommonsHomeAffs
afin que les députés puissent lui poser des questions ;
– retards de passeport
– les délais d’asile
– augmentation de la criminalité
– chute des poursuites
– enregistrer de faibles accusations de viol
– record de fraude élevée
& plus…
« Ce gouvernement est dans un chaos total. »
Stuart McDonald, un député du Parti national écossais qui siège au comité, a déclaré sur Twitter que le ministre de l’Intérieur avait envoyé un e-mail au comité peu avant 17 heures mardi pour annuler sa comparution.
Il a écrit: « Le ministre de l’Intérieur a envoyé un e-mail au comité hier peu avant 17 heures pour annuler sa comparution ce matin – en raison des » récents changements de gouvernement « , y compris de son équipe ministérielle! »
En téléchargeant une photo de la lettre que Patel avait envoyée au président du comité, McDonald a qualifié l’excuse de détritus avant d’ajouter: «Les membres du comité sont plutôt ennuyés. Plus important encore, il en sera de même pour de nombreuses personnes au nom desquelles nous voulons poser des questions : les personnes en attente de passeports ; les personnes en attente d’une indemnisation Windrush ; les personnes en attente de demandes d’asile ; personnes en détention en attente de renvoi au Rwanda…..
« Pas tout à fait dans l’esprit du code ministériel :
« Les ministres ont le devoir envers le Parlement de rendre compte, et d’être tenus responsables, des politiques, décisions et actions de leurs ministères et organismes ».
Basit Mahmood est rédacteur en chef de Left Foot Forward