Le leader de la minorité parlementaire Kevin McCarthy (R-CA) fait partie du groupe de législateurs du GOP dont les dossiers de communication sont examinés par le comité spécial de la Chambre pour enquêter sur l’attaque du 6 janvier contre le Capitole des États-Unis.
Jeudi, CNN a rapporté que McCarthy était sur la liste.
Mardi, McCarthy a menacé les entreprises de télécommunications qui coopéraient avec le Congrès.
Ma déclaration sur les démocrates demandant aux entreprises de violer la loi fédérale : https://t.co/XELEVNbx65
– Kevin McCarthy (@GOPLeader)
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La nouvelle révélation pourrait augmenter la probabilité que McCarthy soit poursuivi en vertu de la loi de 1982 sur la protection des victimes et des témoins.
La loi « interdit à quiconque de corrompre, ou par des menaces de force ou par toute communication menaçante, d’influencer, d’entraver ou d’entraver toute procédure en cours devant un département ou une agence des États-Unis ou du Congrès. »
L’ancien procureur fédéral Ken White, qui propose une analyse juridique du compte populaire @Popehat sur Twitter, a noté comment l’inclusion de McCarthy sur la liste pourrait changer les perceptions de « l’intention corrompue » de McCarthy.
« ‘Si vous vous conformez à une demande d’enquête et transmettez MES dossiers à un comité du Congrès, le prochain Congrès vous punira’ ressemble encore plus à une intention de corruption en vertu de la loi 18 USC 1505. Ce n’est toujours pas une chose sûre mais de plus en plus plausible », a écrit White.
« Si vous vous conformez à une demande d’enquête et transmettez MES dossiers à un comité du Congrès, alors prochain congrès… https://t.co/N7cfNnvcXS
– OneHitPopehat (@Popehat)
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.@GOPLeader a déclaré que les entreprises de télécommunications enfreindraient la loi fédérale et risqueraient de faire des affaires aux États-Unis si elles se conformaient au 6 janvier… https://t.co/1tVxI611F7
– PolitiFact (@PolitiFact)
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