L’extrême droite Caucus de la liberté de la Chambre Vendredi, le chef de la minorité républicaine Kevin McCarthy a envoyé une lettre lui demandant officiellement de trouver un moyen de destituer Nancy Pelosi en tant que présidente.
Les républicains sont à la fois furieux et terrifiés que le président Pelosi ait avancé avec le bipartisan Comité spécial sur l’attentat du 6 janvier, étant donné le rôle possible que certains d’entre eux ont joué dans l’insurrection ou dans sa préparation.
Politico rapporte que « le groupe d’extrême droite a demandé à McCarthy de déposer et de présenter une motion privilégiée avant le 31 juillet » pour quitter le fauteuil et mettre fin au règne autoritaire de Nancy Pelosi en tant que présidente de la Chambre. « »
Dans leur lettre, les républicains d’extrême droite, dirigés par les représentants Andy Biggs (R-AZ) et Jim Jordan (R-OH), ont clairement indiqué qu’il s’agissait d’une poussée pour le pouvoir. Jordan était également l’un des deux républicains de la Chambre, le président Pelosi a refusé de siéger au comité restreint du 6 janvier.
« Refuser de siéger le représentant Jim Jordan et le représentant Jim Banks au comité restreint d’enquête le 6 janvier est intolérable », ont-ils déclaré sur Twitter.
« Le mandat du président Pelosi détruit la Chambre des représentants et notre capacité à représenter fidèlement les personnes que nous sommes ici pour servir », ont-ils écrit. « Les républicains, sous votre direction, doivent montrer au peuple américain que nous agirons pour protéger notre capacité à représenter leurs intérêts. »
Il n’y a eu aucun changement, autre que les républicains devenant le parti minoritaire, qui affecte la « capacité des républicains à représenter » les intérêts de leurs électeurs, en supposant que c’est à qui ils faisaient référence.
Si McCarthy se livre au Freedom Caucus, la mesure n’a pratiquement aucune chance d’être adoptée, mais elle permet aux républicains une autre opportunité de collecte de fonds.
Le représentant Biggs a fait la une des journaux plus tôt cette semaine pour avoir attaqué le président Joe Biden à propos d’une saisie massive de fentanyl à la frontière. On ne sait toujours pas pourquoi il s’est opposé à la saisie de la drogue illégale et mortelle.