Les maires souhaitant être réélus verraient leur « contribution à la campagne » évaluée par la NEC
Ces propositions ont suscité des inquiétudes quant au fait qu'elles pourraient « centraliser le pouvoir » au sein de la NEC, « étouffer la diversité de pensée » et porter atteinte à « l'autonomie » des représentants élus.
« Au lieu de donner à nos maires, qui comptent parmi les politiciens locaux les plus populaires de leur région, les moyens de répondre aux attentes de leurs communautés, les dirigeants semblent déterminés à centraliser le pouvoir au sein de la NEC, étouffant ainsi la diversité de pensée et la responsabilité locale.
«Cette approche est non seulement en contradiction avec l'engagement supposé du parti travailliste en faveur de la décentralisation, mais risque également de s'aliéner davantage les électeurs régionaux qui apprécient une véritable représentation locale, après des années de retard par les administrations conservatrices.
« Les travaillistes devraient se concentrer sur l’instauration de la confiance, et non sur un resserrement de leur emprise. »
« Conformément aux droits et responsabilités de tous les élus, les maires régionaux sont soumis à un prélèvement de deux pour cent sur le salaire des élus, y compris tous les paiements provenant directement du mandat électif. Le parti devrait demander à l’Association des conseillers du travail de veiller à ce que cela soit respecté dans tous les cas, et à ce que des mesures disciplinaires appropriées soient appliquées si nécessaire.